Intersyndicale SPIP 974 : garde vue de la coordonnatrice culturelle – communication n°3
15 mai 2017 – 15 juin 2017 : voilà bientôt 1 mois que notre collègue a dû subir l’humiliation d’une garde à vue.
Après avoir ressenti une vive émotion, les agents du SPIP 974 éprouvent une colère sourde devant une gestion de cette crise à la Ponce Pilate.
Que faut-il attendre d’une visioconférence entre le DI et l’équipe du Port et de quelques appels téléphoniques de la direction auprès de notre collègue ?
Rien ou si peu face à l’ampleur du désastre.
Après les paroles, nous exigeons des actes ! Personne n’a cependant daigné répondre clairement à nos revendications exprimées dans le précédent tract de l’intersyndicale.
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Aujourd’hui, ces revendications demeurent plus que jamais d’actualité et nous exigeons qu’une suite y soit donnée :
Une réhabilitation totale de notre collègue ainsi que des excuses et des explications – Des sanctions en fonction des niveaux de responsabilité.
Une inspection de l’établissement du Port afin d’identifier notamment les carences dans les échanges avec la direction du SPIP.
Les dernières « fouilles » inopinées au sein du CD du Port ne sont que des tentatives désespérées et pour le moins maladroites de camoufler ce qui est d’ores et déjà perçu comme une faute grave de la direction du CD du Port.
Face à cette affaire, la direction du SPIP opte pour la posture de la VICTIME. Les agents du SPIP peinent à croire que cette dernière n’ait pas été informée.
Ne nous trompons pas, c’est bien notre collègue qui a subi un préjudice et les agents du SPIP qui sont les potentielles victimes.
Il est temps de passer à l’action, ainsi, une journée "SPIP mort" sera organisée au plan départemental le 21 juin 2017 en ne répondant qu’aux urgences avec communication auprès des magistrats et de la DAP afin que puisse être entendues nos vives inquiétudes.
Le 13 juin 2017